Paris ose les constructions ambitieuses. La nouvelle gare Institut Gustave Roussy qui s’enfonce jusqu’à 30 m sous terre fascine tant par son architecture que par le génie de sa construction.
Gare de grande envergure
Le Metro Grand Paris Express et la gare IGR entrent dans le cadre du projet Grand Paris. Ce projet vise à transformer la ville de Paris en une métropole et ses banlieues en ville. Le Grand Paris Express a pour mission de relier toutes ces « banlieues-villes» entre elles. La gare de Villejuif est située à l’entrée du centre de lutte contre le cancer dans le parc départemental des Hautes Bruyères. Le bureau d’études Ingérop a été en charge des études préalables et préliminaires d’insertion du Metro Grand Paris et des gares de Villejuif. Cette dernière accueillera 10 000 voyageurs à l’heure de pointe pour une fréquentation journalière de 100 000 personnes. En gros, le site a une surface construite de 26 313 m² et 203 771 m3 de volume construit. Les différents projets se développent jusqu’à 2022 avec le déploiement progressifs de nouvelles lignes de train.
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Architecture futuriste
Confiée à l’architecte français Dominique Perrault, la gare est une structure souterraine qui n’a pas l’air d’en être une. En effet, de par son agencement, elle permet à l’air ambiant et à la lumière naturelle de rebondir en cascade afin que les voyageurs se sentent à l’intérieur comme s’ils étaient à la surface. La température du niveau inférieur (50 m sous terre) sera également la même que celle de la surface. Comme si la personne à l’intérieur de ce lieu d’échange se trouve en plein air. Justement, aucun bâtiment ne surplombera l’espace pour obéir au concept « plein air » de cet ambitieux projet.
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En somme, cette nouvelle gare sera très agréable pour les utilisateurs qui apprécieront de prendre le métro ou le train. Une bonne nouvelle pour le transport en commun qui est l’avenir et même l’incontournable en région parisienne.
