Ce billet s’adresse particulièrement aux entreprises qui souhaitent mettre en place des mémoires de traduction en interne ou qui le font déjà. Si c’est votre cas, on ne doute pas du fait que votre objectif reste le fait de garantir la confidentialité de vos données, ne les laissant plus sortir de vos locaux et en tentant de les sécuriser au mieux. Ceci vous permet surtout de réduire votre budget à travers la récupération de tout ce qui a déjà été traduit. Du coup, vos traducteurs seront recrutés pour travailler en interne et vous leur fournirez une base de fichiers contenant des phrases déjà traduites. Voici comment bien utiliser les mémoires de traduction anglaise.
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Comment fonctionnent les mémoires de traduction ?
Une mémoire de traduction contient le plus souvent des « chaines de caractères » qui se ressemblent plus ou moins et propose surtout plusieurs traductions déjà enregistrées. Elle présente de multiples avantages. Par exemple, si une phrase a déjà été traduite, elle est rappelée de manière automatique. Ce qui permet de gagner beaucoup de temps et vous n’avez pas besoin d’une formation en anglais à Lyon. On a aussi des gains financiers lorsque vous travaillez avec un traducteur externe qui applique des prix dégressifs en fonction des ressemblances.
Autre exemple, la mémoire de traduction peut aussi être le gardien de votre vocabulaire métier. Le traducteur va alors s’en servir comme référentiel qui va l’aider à garantir l’homogénéité de vos communications. Le principal inconvénient sur lequel il faudrait attirer l’attention, c’est le fait qu’une mémoire de traduction ne peut pas être utilisée pour toutes les traductions.
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Les limites de la mémoire de traduction
La principale limite d’une mémoire de traduction, c’est qu’elle ne prend pas en compte le côté créatif du travail de traduction. Du coup, plus le texte est rédactionnel et créatif, plus l’utilisation d’une mémoire risque de lui couper les ailes. Lorsque vous utilisez une mémoire de traduction en anglais sur un nouveau texte, celle-ci est obligée de segmenter le texte en tronçons ou en phrases. Du coup, le fait de traduire ces morceaux pris individuellement ne permet pas d’obtenir un travail de qualité.
Par ailleurs, là où la mémoire de traduction détecte les segments physiques, le traducteur qui a reçu une formation en anglais à Lyon peut déceler des idées et condenser le message. Il peut surtout s’affranchir de la structure du texte afin de restituer dans la langue ciblée, le message et les idées du texte d’origine.
Quoi qu’il en soit, le mieux serait d’en parler avec votre traducteur afin de connaitre les différentes possibilités de traduction à l’aide une mémoire de traduction.