« L’heure de suivre une diète paléolithique a sonné ! » c’est ce qui est stipulé un peu partout. Le régime qui fait la part belle aux fruits, aux légumes et à la viande cartonne. Cette alimentation comme celle des ancêtres préhistoriques favorise vraiment une perte de poids rapide. Pour qu’un tel régime à faibles glucides ne génère pas un danger de carences ou de troubles rénaux, voici ce qu’il faut faire.
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Quels sont les risques liés au régime paléo ?
Sans produits laitiers et céréales, comment espérer être en bonne santé ? Il est clair que la perte de poids procurée par la diète paléolithique est assurée. Pourtant, bien qu’elle supprime tous les aliments riches en amidon, les sucres, les produits laitiers, les viandes graissent et effectivement les produits transformés, il vaut mieux s’attendre au pire : aux troubles rénaux, au dérèglement des hormones, à un état de cétose ou à la carence. Cela est assez logique, engouffrer trop d’aliments riches en protéines pourrait éventuellement abimer les reins. Des carences en vitamine D et calciums sont plausibles en optant pour un régime paléo strict.
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Est-ce que le paléo est vraiment amaigrissant ?
La réponse est oui ! L’alimentation menée par les ancêtres préhistoriques favorise vraiment une perte de poids rapide. À rappeler que les aïeux avaient une bonne forme physique qui leur aurait permis de se mesurer avec meilleurs athlètes d’aujourd’hui. Cela est dû au fait que les aliments riches en protéines, fibres et lipides qu’ils consomment préservent la masse musculaire et assure une satiété rapide, notamment les viandes maigres. L’absence de gluten et de lactose dans le paléo permet une meilleure digestion. Tandis que la consommation en abondance de fruits et légumes améliore les paramètres sanguins et réduit le cholestérol. Aussi, la baisse du cholestérol LDL est favorisée grâce à l’apport élevé en acide gras oméga-3 en paléo.
Comment mincir sainement avec le régime paléolithique ?
Pour mincir sainement en paléo, il vaut mieux privilégier les aliments qui apportent des doses de calcium telles que les poissons, les légumes et les aliments majoritairement crus. Manger cru permet de conserver toutes les vitamines, les antioxydants et les oligo-éléments. Pour déclencher la synthèse de la vitamine D, il est important de s’exposer au soleil d’une manière régulière. Aussi, manger paléo, n’indique pas se conformer entièrement et ne pas faire de transgression. Néanmoins, avant de s’y mettre, il vaut mieux demander conseil à un expert en nutrition perte de poids et se mettre la ceinture en cas de grossesse ou d’allaitement.
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En somme, l’idée de revenir à un plat de chasseur-cueilleur d’il y a des dizaines de milliers d’années semble cartonnée à l’heure actuelle. Ça vaut le coup d’essayer une alimentation paléolithique, mais gare aux inconvénients ! L’absence de deux groupes d’aliments sur 4 n’est pas rien. Du moins, ce régime est loin d’être dangereux à condition de prévenir contre les risques susmentionnés. Le mieux serait de demander l’avis de son médecin ou de suivre les conseils d’un diététicien sur vitalité nutrition.