Le droit à la communication implique plusieurs libertés comme celle de s’informer ou celle de la liberté d’expression. Cependant, il faut savoir que ce droit n’est en aucun absolu, en ce sens qu’il y a certaines règles juridiques très strictes à respecter. Par exemple, il est possible que la divulgation d’une information soit interdite, comme dans le cas des secrets professionnels. Les simples citoyens, les sociétés, les médias ainsi que les personnalités publiques sont donc les sujets du droit à la communication. C’est un domaine très intéressant puisque l’on est en train de voir à quel point une mauvaise communication peut être désastreuse surtout en matière d’image.
La problématique du droit de la communication
La liberté de communication suppose trois choses, à savoir un récepteur, un émetteur et une information. C’est sur ce dernier point que se pose le problème, en effet, est-ce que l’on est en face d’un produit, d’un bien, ou d’un service. Plus précisément, le droit applicable à l’information est sujet à débat. Il y aura des cas où ce sera le droit administratif qui sera en jeu, il y aura également des situations où c’est par contre le droit pénal qui sera appliqué. Quoi qu’il en soit, c’est un vrai problématique et qui empêche de mettre une définition exhaustive sur le droit à la communication alors qu’est-ce que le droit de la communication ? C’est l’ensemble des règles juridiques qui interviennent sur la transmission d’un message. Cette délimitation est simpliste puisqu’il y a des facettes qui sont délaissées. D’ailleurs, ce droit est relativement complexe en ce sens qu’il fait intervenir d’autres domaines que le juridique. Il est très difficile de le détailler même en étant un juriste.
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Le droit de la communication et les médias
De nos jours, le droit à la communication est fortement utilisé dans les médias. En effet, ces derniers usent de certaines libertés pour ne pas respecter certaines limitations. À titre d’exemple, le cas de paparazzi qui ne s’inquiètent guère de l’honorabilité de certaines célébrités sous prétexte du droit à la communication. Même si le droit à l’expression et à l’information sont des libertés fondamentales et inhérentes à la démocratie, il est important de les limiter. C’est là le principal débat. D’ailleurs, cela implique aussi la question de la responsabilité du fait des contenus publiés. En effet, à qui doit-on reprocher un contenu incorporé paru dans les médias, est-ce que c’est de la responsabilité de l’État, du journaliste, ou du propriétaire du média en question?? Le droit de la communication nécessite l’explication d’un expert en droit comme un avocat. En ce sens que lorsque vous vous sentirez visé par une injure ou une diffamation portant atteinte à votre image, vous saurez vers qui vous tourner.
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