Étudier ou dormir: non, il ne faut pas choisir!

Étudier ou dormir: non, il ne faut pas choisir!

Ce n’est plus qu’une question de jours avant que les réjouissances de fin d’année ne pointent le bout de leur nez! Le sapin joliment décoré trône d’ores et déjà dans le salon. À ses pieds, de nombreux cadeaux. L’excitation et l’impatience sont à leur comble! Si Noël et Nouvel An constituent pour beaucoup la plus belle période de l’année, un indésirable s’est malheureusement invité à la fête des étudiants: le blocus! Stresse, révisions, doutes,… : de quoi occulter la magie de Noël, mais pas que… Nombreux sont ceux qui, au profit d’une étude plus approfondie, sacrifient leurs précieuses heures de sommeil. Est-ce la bonne stratégie? Vaut-il mieux privilégier un sommeil réparateur? Réponses.

Étudier ou dormir: non, il ne faut pas choisir!

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Un étudiant n’est pas l’autre. Pour certains, assidus et organisés, le blocus ne consiste qu’en un simple parcours de santé. Vérifications, relectures, le tout dans le calme et la sérénité. D’autres, bien qu’ultra préparés, ne peuvent se résoudre à relâcher la pression, ne serait-ce qu’un seul instant. D’autres encore, peu assidus durant l’année, considèrent le blocus comme une seconde chance d’appréhender la matière à vitesse grand V. Pour ceux-là, la moindre minute compte.

Que vous apparteniez à la deuxième ou à la troisième catégorie, face au dilemme étudier ou dormir, il convient d’opter pour la seconde option. Voyons pourquoi ensemble…

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Ne pas dormir est contre-productif

Si le sommeil permet de récupérer physiquement, c’est également par lui que nous évacuons nos angoisses, tout en consolidant nos apprentissages de la journée écoulée. Face à ce constat, aisé de constater que le sommeil constitue une condition sinéquanone de la réussite. Inutile de se bourrer le crâne d’une multitude d’informations si l’on ne laisse pas à notre mémoire le temps de les assimiler. Notons également que sommeil et concentration vont de paire…

Conseils

Pour parvenir à jongler entre sommeil et étude, quelques conseils:

  • L’élaboration d’un planning: vous êtes stressé? Vous pensez ne pas pouvoir y arriver? Établissez un planning clair et précis de ce qu’il vous reste à faire. Comme nous l’avions déjà évoqué lors d’un précédent article, mettre les choses par écrit permet d’en libérer votre esprit.

 

  • Une mini-sieste: après dîner, vous êtes pris d’une envie irrésistible de dormir? Ne résistez pas: octroyez-vous une sieste de 20 minutes, celle-ci vous permettra de rallonger votre temps de travail d’environ deux heures.

 

  • Un rythme normal: il est conseillé de ne pas se lever ni trop tôt ni trop tard, de même pour l’heure du coucher. L’idéal: caler votre sommeil sur les horaires de vos examens. Pour ceux qui se jugent plus productif à la tombée de la nuit, veillez toutefois à vous ré-adapter petit à petit pour le jour J.

 

  • Des moments à soi: le blocus ne doit pas être intensif. Accordez-vous des pauses de temps à autres. Il est d’ailleurs conseillé de vous relâcher l’esprit avant d’aller dormir de manière à ne pas inlassablement ressasser votre matière, ayant pour conséquence de vous empêcher de dormir.

 

  • Des nuits réparatrices: pas de nuit réparatrice sans un matelas de qualité. Encore plus que le reste de l’année, veillez à la qualité de vos nuits.