À la fin d’août chaque année, la saison des inondations, les photographes se convoquent au delta du Mekong. les nénuphars sauvages fleurissent massivement sur des rivières, des canaux, des étangs,…
Un type de fleur dont la tige, le tubercule, les racines s’enfouissent au profond de la terre sous l’eau à la saison sèche. À la saison des pluies et crues, il grandit tranquillement, tranquillement fleurit partout pour avoir une saison de récolte des fleurs de nénuphar, une saison des plats délicieux et rustiques.
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Il est certain que l’on ne pouvait pas oublier de l’enfance sur les sampans à récolter les fleurs de nénuphar dans les lacs lointains, mouillé et froid, mais en échange, on avait un peu de revenu pour une nouvelle année scolaire.
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Que représente une image des mères, des sœurs sur les sampans qui commencent trop tôt le matin pour les cueillir à temps et plus beaucoup possible car plus tard, les fleurs sont plus amères. Quel joyeux avec un sampan plein de nénuphars frais.
Pendant ces dernières années,à cause de pas beaucoup d’inondations,au début de la saison des pluies,les gens doivent préparer les champs,draguer des étangs pour la naissance des nénuphars au moment de plusieurs pluies.Normalement on n’a pas besoin de la plantation des nénuphars. Il pleut, ils s’élèvent automatiquement de la terre bourbeuse. Plus de pluie,des tiges de nénuphar plus longues, douces, fraîches.
Prendre le sampan et cueillir les nénuphars frais, laver les boues, just enlever des grandes fleurs, prendre les tiges, les enrouler, vendre au commerçants qui vont livrer aux marchés, aux restaurants…
Ils peuvent nous donner de plusieurs plats variés tels que les nénuphars frits avec d’autres ingrédients (viandes,crevettes…), soupe aigre, un plat dont la façon de faire comme des cornichons, et le plat le plus spécial de ce nénuphar est hotpot de sauce “mam kho” (une sauce de poissons spéciale pour le hotpot). Les plats ruraux étaient retenus à l’oreille depuis des ancêtres mais c’est pas que tout le monde le sait et les a goûté une fois.
Si l’on arrive aux régions plus loin, sauf quelques cabanes, on ne voit personne. Les résidents racontent: quoi que le nénuphar se développe naturellement d’après le niveau de l’eau, mais pendant ces dernières années,il n’y a plus beaucoup d’inondations, les habitants doivent les planter pour gagner d’argents . C’est pour cette raison qu’il faut les surveiller et s’en occuper.
D’autre part il y a aussi des gens qui doivent suivre le sampan à cueillir les nénuphars jusqu’aux champs sauvages à la frontière du Cambodge. Comme il reste encore sauvage, plusieurs nénuphars longs et grands là, pourtant c’est dangereux et fatigué…la nuit, le vent, le froid… Si l’on n’est pas adroit, prudent, le sampan risque de chavirer. Les gens racontent, soupirent et regardent au lointain
Deux types de nénuphars: nénuphars à planter et nénuphars sauvages.
Nénuphars à planter: le tige est violet-rouge et plus gros que les sauvages. Le tige des nénuphars sauvages est souvent blanc-vert, plus long, et peut-être de 5m à 7m par une tige. Les sauvages se trouvent normalement à la frontière du Cambodge, grande tige et grande fleur.
Une grande admiration aux habitants dans les régions rurales au delta du Mékong, pour nous servir de bons plats de nénuphars cette région d’alluvion, plusieurs personnes étaient déjà passées une vie très dure.