Rien qu’en Belgique, plus de 100.000 personnes sont des joueurs excessifs. Mais la différence entre un simple joueur ludique et un joueur excessif peut parfois être tenue.
La différence entre une personne qui apprécie de jouer à des jeux et une personne qui joue de manière excessive se trouve notamment dans le fait que la vie du joueur excessif est régulée par le jeu. La vie entière de la personne est organisée autour du jeu et c’est ce qui rend cette situation excessive.
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Ce problème du jeu n’est pas nouveau dans la société. Comme un psychologue l’explique très bien sur son site internet, le problème du jeu excessif était déjà présent dans la Grèce antique mais la multiplication des opportunités n’a fait que consolider le problème pour devenir une préoccupation majeure à l’heure actuelle.
Une augmentation croissante des possibilités de jouer
Depuis plusieurs années, les risques d’addiction au jeu sont de plus en plus importants tellement il existe des façons et des manières de jouer. Les salles de jeu sont de plus en plus présentes autour de nous mais on voit également une multiplication des jeux sur internet (même plus besoin de sortir de chez soi), des jeux à gratter, etc.
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Parmi les critères qui peuvent définir une addiction au jeu, on trouve (liste non-exhaustive) :
- L’impossibilité de résister à cette envie,
- Un sentiment de plaisir ou de soulagement pendant le jeu,
- Une monopolisation de la pensée par le projet addictif,
- Une durée des épisodes de jeu qui croît sans cesse,
- Une angoisse ou une irritabilité s’il est impossible de jouer,
- Etc.
Des solutions ?
Evidemment, il existe des solutions permettant de sortir de ces situations problématiques de jeu excessif. Parmi elles, on trouve la possibilité de suivre une psychothérapie auprès d’un psychologue spécialisé dans ce type de problèmes. Afin d’obtenir les meilleurs résultats, le psychologue se concentrera sur tous les aspects de la vie du joueur dans le but de déterminer l’histoire de cette problématique et de tenter de l’atténuer petit à petit.
Pour plus d’informations à ce sujet, n’hésitez pas à en parler à des spécialistes !