Le weekend dernier, le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat (GIEC) a publié un nouveau rapport sur le réchauffement climatique. Rapport particulièrement alarmant comme on peut le comprendre dans cet article.
Des experts du climat provenant de différentes régions du monde ont réalisé des études et des tests afin d’offrir de nouvelles perspectives à l’évolution du climat dans le monde. Et on peut dire que ces prévisions ne sont pas des plus réjouissantes puisque les climatologues du GIEC notent dans leur rapport que les émissions mondiales de gaz à effet de serre augmentent de plus en plus vite et que cela a un impact sur la hausse de la température mondiale.
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Plan de l'article
Les émissions de gaz à effet de serre
Plus concrètement, les experts du GIEC expliquent que les émissions de gaz à effet de serre (GES) connaissaient une croissance de 0,4% par an en moyenne entre 1970 et 2000 mais que cette évolution a augmenté pour atteindre 2,2% par an entre 2000 et 2010.
La température mondiale en hausse
Autre chiffre très concret publié par ces climatologues renommés : la hausse de la température moyenne mondiale devrait atteindre entre 3,7 et 4,8°C d’ici 2100 si on ne fait rien d’ici là pour que cela change. Et cette hausse de la température pourra avoir des conséquences non-négligeables sur la population mondiale comme : une élévation du niveau des mers de plus d’un mètre, la multiplication des événements climatiques extrêmes, une insécurité alimentaire toujours plus importante ou encore des problèmes sanitaires plus réguliers.
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Parmi les solutions : les énergies renouvelables
Le GIEC insiste sur le fait qu’il est désormais urgent d’agir pour lutter contre l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Parmi les solutions qui existent, on trouve la possibilité de se tourner vers des énergies renouvelables qui sont moins carbonées comme les pompes à chaleur, les chaudières à pellets et autres panneaux photovoltaïques.
Travailler l’efficacité énergétique des bâtiments sera également un élément sur lequel il faudra travailler et, à long terme, c’est tout le modèle économique de la planète qui devra évoluer si on veut éviter pareils changements.
Pour continuer la lecture : Le Monde, le rapport du GIEC